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L’action « + de fleurs pour + d’abeilles » dans la presse !
À l’espace Flore et Sens à Quéven, plus de fleurs pour plus d’abeilles sauvages
La Jeune chambre économique (JCE) du pays de Lorient mène actuellement un projet en faveur des abeilles sauvages : plus de fleurs pour plus d’abeilles. Le projet est né après avoir postulé à un appel à projet de Lorient Agglomération dans le cadre du Mois de la biodiversité.
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Les adhérents de la Jeune chambre économique du pays de Lorient (Morbihan) ont organisé cette rencontre en partenariat avec Villa Florale, Coud’Van, l’association Api 56 et les services techniques de la Ville de Quéven.
Brian Le Bourvellec, directeur de ce programme, et son équipe de la JCE, ont répondu à un appel à projets lancé par Lorient Agglomération dans la cadre du Mois de la biodiversité. Nous avons contacté les apiculteurs d’Api 56 qui viennent d’installer trois ruchers à Quéven. Ils ont expliqué comment nourrir les papillons, les bourdons, les abeilles et les insectes. Les professionnels ont choisi cet espace car les abeilles du rucher ont déjà beaucoup de nourriture sur place. Dans cet esprit, nous avons invité une cinquantaine d’enfants de l’école Saint-Joseph de Quéven pour une conférence sur les abeilles donnée par l’association Api 56. Le but était de transmettre les connaissances, car les abeilles sont nos alliées pour l’avenir.
Œillets, asters, fuchsias…
Les enfants ont planté des espèces mellifères sur une parcelle préparée par les services techniques de la Ville dans l’espace Flore et Sens : cosmos, lavandes, tanzanias, œillets, fuchsias, géraniums, anthémis simple blanc et asters. Ces plantations sont destinées aux butinements des abeilles sauvages qui peuvent faire jusqu’à 3 km pour se nourrir. Tous les ans, nous poursuivrons ce projet, financé, cette année, à hauteur de 695 € par Lorient Agglomération »,
précise Brian Le Bourvellec.
« Elles ne font pas que du miel »
Gilles Lanio, président d’Api56, et son équipe, sont venus expliquer la place de l’abeille dans l’environnement Il faut d’abord les connaître et les respecter en favorisant leur reproduction et leur multiplication,
expliquent Gilles Lanio. Nous apprenons aux enfants comment différencier une abeille d’une guêpe : si l’abeille est brune avec des tendances de couleurs, la guêpe est jaune et noire. Le travail de l’abeille représente 40 % des opérations dans l’environnement. « Elles ne font pas que du miel, elles pollinisent les jardins, les cultures. Nous leur devons beaucoup. » À l’issue de l’événement, chaque enfant est reparti avec un sachet de graines de fleurs mellifères à planter chez lui et des livres pour l’école.












